Archive pour le mot-clef ‘billet d’humeur’

La yohimbine du 2 Mars – Programme.

Mardi 25 février 2014

La « Yohimbine », une émission Toulousaine exclusive sur radio FMR. Tu peux nous écouter sois en streaming (: http://giss.tv:8000/radio-fmr.mp3.m3u) ou sur la bande FM (89,1 MHz-Toulouse), tous les dimanches soirs à partir de 20 h. Sens de l’humour, esprit provocateur, des animateurs vigoureux, des invité(e)s, des billets d’humeur, des rubriques, des chroniques, des découvertes d’artistes musicaux avec un soupçon de musique alternative et beaucoup de rock psychédélique… Voila! La recette de la « Yohimbine ».

Page Facebook de l’émission : https://www.facebook.com/pages/La-Yohimbine-Emission-radio-sur-FMR-8910-Mhz/210105625784295

Nos invité(e)s : Le Festival « Les récréatives » ♦ Site internet : https://www.facebook.com/events/464233577010352/?source=1. Pour la troisième année consécutive l’association P’tite Lumière et Cie vous présente « Les Récréatives » festival mettant en avant les artistes féminines de la région et de l’hexagone tout cela autour de la journée des droits des femmes. Nous vous proposons donc un week-end haut en couleurs avec 3 jours de festivités . Cette année le festival met à l’honneur les DJETTES Toulousaines et aura lieu du jeudi 6 mars au samedi 8 mars dans divers lieux de notre belle ville rose. Expositions , musique , performances , danse et autres arts vous seront présentés par des femmes pour tout les genres…

Le billet d’humeur sera «Karma» : Mars. La tension monte, c’est imminent, mais nous avons accepté notre sort, nous ne fuirons pas. Nous savons que cela doit arriver, ce sera un soir, autour de 20 heures, quand la nuit nous aura poussés à allumer nos lumières, qu’ils pourront donc nous repérer depuis la rue. Ils sont organisés. Nous ne fuirons pas, notre lutte sera silencieuse : nous nous transformerons en ninjas, furtifs et discrets. C’est une fois par an et c’est comme une chanson de Christophe Maé ; toujours exactement pareil. L’immeuble vit normalement ; les portes qui claquent, les envoyés spéciaux qui s’égosillent dans les téléviseurs, les robinets qui vomissent dans les tuyauteries, la voisine qui jouit comme si c’était la dernière fois, quand soudain : plus un bruit. Silence effrayant de fin du monde qui sera vite rompu par le tintement des sonnettes, qui résonneront méthodiquement, porte après porte, étage après étage. Et ça montera, ça montera, ça se rapprochera dangereusement, puis ce sera notre tour. C’est immuable…

La rubrique musicale parlera de Go!Zilla – Grabbing A Crocodile (2013) : A la première évocation de Go!Zilla, on pense immédiatement à un monstre japonais ou pour les geeks à un outil de gestion de téléchargements, plus rarement à un duo garage venu d’Italie, composé de Luca Landi (guitare / chant) et Fabio Swirl (batterie). C’est pourtant bien à nos amis transalpins que nous devons cette heureuse découverte, ce Grabbing A Crocodile sorti chez Black Candy Records in Italie et distribué par rien de moins que Rough Trade en Europe…

En écoute ici : http://gozilla.bandcamp.com/album/grabbing-a-crocodile?from=embed

La petite gâterie de la soirée sera «Le thé au kratom est le grand remède des anciens héroïnomanes» :

Il est aussi très prisé des hyperactifs et des employés de bureau

Un jour, quelqu’un m’a parlé d’un bar qui vendait du thé infusé avec « une drogue étrange et illégale en Thaïlande, le kratom ». C’était suffisant pour éveiller ma curiosité. C’est la rubrique des activités immorales, du journalisme d’investigation à deux balles et des débats de merde. Résumé : Un jour, quelqu’un m’a parlé d’un bar à Wilmington, en Caroline du Nord, qui vendait du thé infusé avec « une drogue étrange et illégale en Thaïlande, le kratom ». J’avais aussi entendu dire que cet endroit – un tiki bar appelé Kat 5 Kava qui ne servait pas d’alcool – était une sorte de laboratoire clandestin de meth ou un fumoir d’opium. C’était suffisant pour éveiller ma curiosité. Bien que le kratom existe depuis quelques temps, les médias s’attachent encore à la qualifier de « nouvelle drogue légale ». Les feuilles de kratom, qui proviennent d’un arbre originaire de Thaïlande, sont récoltées et séchées pour produire la drogue. Elle a été interdite en 1943, après que les Thaïlandais ont commencé à l’utiliser comme une alternative à l’opium et que le gouvernement s’est rendu compte qu’elle n’était pas taxée.

La yohimbine du 23 Février – Programme.

Jeudi 20 février 2014

La « Yohimbine », une émission Toulousaine exclusive sur radio FMR. Tu peux nous écouter sois en streaming (: http://giss.tv:8000/radio-fmr.mp3.m3u) ou sur la bande FM (89,1 MHz-Toulouse), tous les dimanches soirs à partir de 20 h. Sens de l’humour, esprit provocateur, des animateurs vigoureux, des invité(e)s, des billets d’humeur, des rubriques, des chroniques, des découvertes d’artistes musicaux avec un soupçon de musique alternative et beaucoup de rock psychédélique… Voila! La recette de la « Yohimbine ».

Page Facebook de l’émission : https://www.facebook.com/pages/La-Yohimbine-Emission-radio-sur-FMR-8910-Mhz/210105625784295

Nos invité(e)s : Dancers In Red ♦ Site internet : http://www.noomiz.com/dancersinred. Ils sont nés en 89, presque trente ans après les Rolling Stones,Black Sabbath, The Who et Led Zeppelin, les aînés de cette veine purement rock’n’roll dans laquelle ils se reconnaissent. Dancers in Red, Mathieu (guitare), Marion (basse) et Guillaume (batterie), annonce dans un riff que le rock est encore et toujours synonyme d’énergie renouvelable. Tellement amphétaminé, de l’énergie à revendre : une section rythmique débridée, une guitare brulante, une voix en porte-voix dans un anglais maîtrisé, le tout si follement live! En 2011 la sortie d’un deuxième EP « Let’s stay awake », une succession de chroniques, ainsi que plusieurs premières parties d’artistes confirmés comme Mademoiselle K, Cocoon, et Gaëtan Roussel, ont permis de placer le trio toulousain dans le peloton de tête des groupes à ne pas manquer ! Et malgré des influences Old School, l’ensemble reste très actuel… affaire à suivre! Let’s stay awake…how could you sleep?

Le billet d’humeur sera «Plan à trois, l’après» : Vous êtes un couple. Un soir, vous êtes à cette pendaison de crémaillère d’un cousin éloigné, l’ambiance est alcoolisée, vous sortez d’une gastro-entérite éprouvante, votre système immunitaire a morflé alors vous planez un peu et vous sentez prêt à toutes les folies et là, une occasion se présente. Cette jeune femme plutôt ouverte d’esprit vous propose de rentrer avec vous pour un plan à trois. Vodka  et rémission de gastro aidant, pourquoi pas ?… A dimanche soir !

La rubrique musicale parlera de Toy – Join The Dots (2013) : Toy, c’est un groupe anglais de Brighton, composé de Tom Dougall (chant / guitare), Dominic O’Dair (guitare), Maxim Barron (basse), Charlie Salvidge (batterie) et Alejandra Diez (claviers) qui a connu un petit buzz lors de la sortie en 2012 de son premier album homonyme. A mi chemin entre rock psychédélique et shoegaze, le cocktail proposé alors par nos anglais s’était avéré très séduisant même si on avait été un petit peu déçu. L’album nous avait semblé en deçà des promesses affichées avec leur premier single, l’extraordinaire « Left Myself Behind », absent dudit album. Ce premier album restait néanmoins un disque solide, d’un groupe au potentiel certain.

En écoute ici : http://youtu.be/O2IFGouxhkg

La petite gâterie de la soirée sera «Le triste sort des sorcières» :

Pour ne pas qu’on les assassine, on les enferme dans un camp rien que pour elles.

C’est la rubrique des activités immorales, du journalisme d’investigation à deux balles et des débats de merde. Résumé : Au Ghana, les sorcières existent. Ou du moins, il y a assez d’accusations de sorcellerie pour que quelqu’un se soit senti obligé de créer des camps afin de les protéger de l’exécution. Les plus chanceuses atterrissent donc dans l’un des six camps à sorcières du Nord-Ghana, et sont prises en charge par les chefs de village ; mais même là, leur vie est loin d’être idyllique. Awabu nous a brièvement décrit ce qui était arrivé aux 800 femmes enfermées à l’air libre dans ces camps. Awabu est dans le camp de sorcières de Gambaga depuis cinq ans. « La femme de mon fils a rêvé que je la poursuivais avec un couteau. Au réveil, elle m’a accusée de sorcellerie, et mon propre fils l’a aidée à me battre, avec sept autres personnes. » Les histoires de sorcière présumée commencent toutes pareil. Après un mauvais rêve, une maladie ou un décès inexpliqué, une accusation de sorcellerie condamne ces femmes à vie. « Ils m’ont dit : ‘‘Ce soir, on va te tuer.’’ J’ai fait semblant d’aller chercher du bois et je ne suis jamais revenue. J’ai marché huit jours dans la brousse, où j’ai dû accoucher seule, pour rejoindre le camp de Gambaga. »