Archive pour le mot-clef ‘Japan’

♫ PODCAST émission Mamie Van Doren in Xanadu n°122 / GUACHAFITA RADIO du 04/11/15 @ Festival Extrême Cinéma

Mardi 17 novembre 2015

SATANICPORNOCULTSHOP by Dj No Breakfast on Mixcloud

SATANICPORNOCULTSHOP (サタニックポルノカルトショップ)

Groupe culte de la scène électronique underground japonaise de ces 20 dernières années. Des artistes extraprolifiques, ultra-cultivés, curieux de tout. Des cadors, des épées, passés maîtres dans l’art du collage sonore, du copier/coller, de la boucle et du détournement. Une musique unique « sans limites », à base de samples d’à peu près tout ce que vous pouvez imaginer sur des rythmiques Juke / Footwork infernales. Pour notre plus grand plaisir, ils s’attaquent même à quelques classiques de la chanson française…
https://soundcloud.com/satanicpornocu…
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Podcast de l’émission de DJ NO BREAKFAST : Mamie Van Doren in Xanadu n°122 / Guachafita Radio / radio FMR 89.1
Une émission enregistrée en direct du Festival Extrême Cinéma à Toulouse. Merci à Ugh Yoing de SATANICPORNOCULTSHOP, à radio FMR , Kinou, Lofo, Alex, Tonio, Loko et à la Cinémathèque pour votre accueil.
mixtapes de Satanicpornocultshop ici nunulaxnulan

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La yohimbine du 16 Février – Programme.

Mercredi 12 février 2014

La « Yohimbine », une émission Toulousaine exclusive sur radio FMR. Tu peux nous écouter sois en streaming (: http://giss.tv:8000/radio-fmr.mp3.m3u) ou sur la bande FM (89,1 MHz-Toulouse), tous les dimanches soirs à partir de 20 h. Sens de l’humour, esprit provocateur, des animateurs vigoureux, des invité(e)s, des billets d’humeur, des rubriques, des chroniques, des découvertes d’artistes musicaux avec un soupçon de musique alternative et beaucoup de rock psychédélique… Voila! La recette de la « Yohimbine ».

Page Facebook de l’émission : https://www.facebook.com/pages/La-Yohimbine-Emission-radio-sur-FMR-8910-Mhz/210105625784295

Nos invité(e)s : Firedog Empire ♦ Site internet : www.firedogempire.com. Firedog Empire mêle la poésie, la mélancolie et la douceur de la folk à l’énergie du rock et au phrasé du jazz. Né en octobre 2011 le groupe sort en octobre 2013 son premier EP 6 titres intitulé “Thousand Stitches” enregistré par Chris Thorpe (Porcupine tree, Murray Head, Roy Harper, Geoffrey Downes, Hugh Hopper…).

Le billet d’humeur sera «La quenelle du bureau ovale‏» : On ne s’en lasse pas. Il faut voir, et revoir, ce selfie de la colo hollando-journalistique française dans le bureau ovale. Ce n’est pas seulement un défoulement de gamins en sortie scolaire (toute la galerie photos est là). Il y a dans cette jubilation profondément, délibérément régressive, un bras d’honneur à l’actualité dramatique que ces journalistes sont censés traiter. Pour la première et sans doute dernière fois de leur vie, ils sont au coeur du coeur du coeur du pouvoir. Ils n’y reviendront jamais…

La rubrique musicale parlera de The Growlers – Hung At Heart (2013) : Alors que l’on passe régulièrement en revue moults groupes californiens, on avait jamais écrit une seule ligne sur The Growlers. Un crime. Heureusement le groupe semble avoir passé la vitesse supérieure en enregistrant en 2013, un album Hung At Heart et un EP Not Psych!. L’occasion est belle de rattraper un peu du temps perdu. Les Growlers avaient créé une réelle attente suite à la sortie de Are You In Or Are You Out en 2009 vite suivi du EP (de 10 titres tout de même), Hot Tropics en 2010. Il faut dire que leur côté branleur, la nonchalance qui se dégage de leurs morceaux n’a d’égal que la fulgurance de leurs compositions. Quelque part entre envolées west coast et le The Coral des débuts, la pop embrumée des californiens faisait plaisir à entendre.

En écoute ici : http://thegrowlers.bandcamp.com/album/hung-at-heart?from=embed

La petite gâterie de la soirée sera «Je suis allé dans un spa à vin japonais» :

J’en suis reparti plus sobre qu’à mon arrivée..

C’est la rubrique des activités immorales, du journalisme d’investigation à deux balles et des débats de merde. Résumé : Tokyo donne parfois l’impression d’être une sorte de capitale mondiale du divertissement, où l’ennui n’est même plus une option. Rares sont les villes où il est à la fois possible de voir des hommes d’affaires perdre l’équivalent d’un PIB dans des machines à sous, de choyer son animal virtuel ou de se rendre dans un café pour câliner de parfaites inconnues. Mais malgré ces possibilités infinies, on ne parle pas assez de cette singularité qui caractérise la culture japonaise : un code silencieux qui impose aux Japonais de ne se détendre qu’avant et après leurs obligations quotidiennes.